Ce film est son tout premier long métrage. L'interprétation est impeccable. Mais sincèrement, je n'en peux plus. Retrouvez les 387 critiques et avis pour le film Mortal Engines, réalisé par Christian Rivers avec Hera Hilmar, Robert Sheehan, Hugo Weaving. Publiée le 16 décembre 2018 Eran Naim, Stav Almagor, Stav Patai Une guerre éclair a ravagé la Terre en seulement soixante minutes.
Nora Fingscheidt Quel univers époustouflant ! En effet, l’histoire est aussi médiocre que son titre (mais c’est le titre du livre dont c’est tiré), et l’on se demande comment on peut imaginer une fiction aussi lourdingue –ce qui n’empêche pas de parler de physique quantique à tout moment. Par les membres ayant fait le plus de critiques Ça reprend tellement mécaniquement les codes de la littérature adolescente que rien n'a de quoi surprendre le spectateur. Suivre son activité C'est d'ailleurs là un des gros points forts du film de Christian Rivers : contourner une bonne partie des défauts habituels des adaptations de la littérature young adult qui se contentent la plupart du temps de poser platement les bases d'affrontements à venir lors de leur premier épisode. Dans un futur postapocalyptique, des cités mobiles s’entredévorent. Oui, il ne m’a fallu qu’une seule minute pour que tous mes espoirs s’envolent. C’est un univers foisonnant, d’une richesse visuelle impressionnante, que 47 Ronin est le premier long métrage de Carl Rinsch : un blockbuster et un échec au box office... Comme Mortal Engines est le premier long métrage de Christian Rivers - un blockbuster et un échec commercial...Dans OBLIVION, comme dans MORTAL ENGINES, l'action se déroule sur une planète qui a radicalement changé.Avec la plateforme d'abonnement VOD illimité FilmoTV, visionner vos films à domicile en un clic ! Une expression énigmatique ! Un trip visuel annoncé par l’affiche qui semblait faire se percuter les univers du « Château ambulant » et de « Steamboy ». Publiée le 15 décembre 2018 Lire ses 3 096 critiques Lire ses 163 critiques Un couple de héros que tout oppose mais amené à se faire de sérieuses oeillades amoureuses, des dirigeants adultes poursuivant forcément un dessein maléfique sous leurs sourires (ici, un t.très méchant Hugo Weaving dont le but est de simplement tout exploser pour dominer), un camp insoupçonné d'alliés rebelles qui passaient pour des malfaiteurs, des enjeux familiaux tragiques racontés sous forme de confessions/flashbacks... Tout ou presque y passe et, surtout, donne l'impression d'être parfois survolé tant le rythme effréné du film n'offre que peu de temps morts explicatifs (rien n'est quasiment dit sur les origines des gens ressuscités et la cité sédentaire se résume pratiquement à son seul chef/moine et des figurants).